Vers la fin du XVe siècle, après la découverte du nouveau monde, le continent américain, par Christophe Colomb, et après la découverte des richesses naturelles de ce continent, les forces européennes s’étaient pressées d’y aller et de conquérir ces territoires. En revanche, ces colonisateurs ignoraient toute fois que ce nouveau monde abritait plusieurs peuples qui ne leurs ressemblaient pas du tout. En arrivant aux Amériques, les colonisateurs, surpris de trouver d’autres vies, tentent tout pour avoir les richesses de ces peuples (or, perles précieuses, etc.) et leurs territoires. Les espagnoles, une de ces forces européennes, des plus redoutées, conquirent les territoires de l’Amérique latine, où se trouvaient plusieurs populations tels que les inca, les aztèques, les mayas, etc. Ces peuples ont vécu un grand massacre et une grande humiliation par les espagnoles. Dans l’essai de Montaigne, qui est à l’étude, «Des coches», on voit un contraste entre ces populations, ceux qui ont vécu dans la nature et qui ont été élevés par cette dernières; et les espagnoles qui sont les enfants de la raison, des connaissances et de l’industrie. Aussi, Montaigne compare l’innocence et la foi des anciens peuples de l’Amérique Latine au vice et à l’égoïsme des peuples européens. Pour commencer, Montaigne fait ressortir deux couleurs (populations) qui s’opposent dans son essai, les Espagnole versus les anciens peuples de l’Amérique Latine. D’une part, cet auteur vante les peuples des Amériques, il admire le fait que la nature ait fait d’eux de braves gens qui ont développé la foi, le courage, la loyauté, la franchise, la bonté, etc.par une tendance naturelle qui n’a pas été influencée par quoi que ce soit. Il dit que cette façon de vivre rapprochait ces peuples de la vraie liberté, ils étaient dans l’autre bout du monde où ils vivaient aussi paisiblement que nul autre humain de l’ancien monde (celui des 4 autres continents), ils obtenaient tout ce qu’ils voulaient (nourriture,