Commentaire critique sur le poème liberté de paul éluard
Dans son poème Libertéé4, tout comme dans ses œuvres Pour vivre ici5, L’amoureuse6 et Je te l’ai dit7, Éluard se sert de l’anaphore « Sur » afin d’englober le plus de surfaces, physiques et spirituelles, possible. Il s’efforce également de cerner plusieurs opposés, grâce à des antithèses, comme par exemple : «Sur les pages lues / Sur toutes les pages blanches» (v. 5-6) ainsi que «Sur la lampe qui s’allume / Sur la lampe qui s’éteint» (v. 41-42) À tous les quatre