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Commentaire littéraire: britannicus de racine ''la tirade d'albine''

758 mots 4 pages
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Commentaire littéraire: Britannicus de Racine
''la tirade d'Albine''

En 1669,Racine écrit Britannicus,une tragédie classique qui s'inspire de l'antiquité Romaine. Elle respecte bien les règles de vraisemblance et des trois unités. Les répliques de cette tragédie sont en Alexandrins. Le héros nommé Britannicus aime Junie qui est aimée de Néron l’empereur de Rome. Dans l'acte V, scène 8 (qui est donc la dernière scène de l'ouvrage), Albine nous raconte la fin tragique du récit a travers une tirade destinée a Agrippine. En quoi est-ce une fin tragique? quelles sont les réactions et sentiments suscités? Pour commencer nous verrons la mort symbolique de Junie qui déclenche ''la fin'' de Néron et Narcisse.

Cette tirade nous raconte la fin tragique des personnages;
Elle commence en annonçant la ''mort'' de Junie,sans respecter la chronologie des faits; «Sans mourir elle est morte pour lui»(1722) qui est une Antithèse mettant en valeur le fait qu'elle est morte aux yeux de Néron.
Par la suite nous apprenons a travers un discours rapporté que ses ''dernières'' paroles furent adressés a la statue en marbre d'Auguste qu'elle traite de prince et auquel elle fait la promesse de se ''dévouer à ces dieux immortels''(1737) de façon a ne pas être parjure envers Britannicus,(''elle décide de conserver une foie toujours pure''-1736)
Donc nous pouvons en déduire qu'elle a décidé de se consacrer a la religion car en plus de pouvoir rester pure,elle ennuiera Néron qui ne pourra plus l'obliger a devenir son aimé.
La ''fin'' de Néron et de Narcisse est déclenché par cet acte de Junie qui est fortement soutenu par le peuple, ils ont pitié d'elle et décident de la guider jusqu'au temple. Narcisse contrairement a Néron ne craint pas le peuple et essaye de la retenir:une hyperbole a été faite « il vole vers Junie »(1749) Racine veut donc dire qu'il court très vite vers elle. , cependant le peuple qui était du côté de Junie l'empêche et «de mille coups mortels,son audace est

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    On retrouve le lexique de la guerre et de la mort. Les rimes toujours croisées, comme sont croisées les destins des deux personnages. Il n’y a aucun signe de ponctuation. Ce que je pense.….

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