Commentaire littéraire sur un extrait des contemplations de victor hugo
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Cet extrait de poème, Les Contemplations en 1856 de Victor Hugo montre l'enseignement des mathématiques comme un supplice, voir même une torture. En effet, le poète nous montre d'abord les professeurs en tant que bourreaux puis les exactions qu'ils lui font subir et les différentes réactions du patient. En premier temps, une métaphore « On me livrait […] aux […] bourreaux » transforme le « on » qui est les professeurs en bourreaux. Ces derniers deviennent donc des tortionnaires pour le poète. Une anaphore « On me livrait » , « On me faisait de force ingurgiter », « On me liait », « On me tordait » et « on me fourrait sous les os maxillaires » montre une insistance sur la torture produite par ces bourreaux ce qui pour le poète démontre que ce mode d'éducation repose sur la contrainte, la force et la terreur. Il y a un évident champ lexical des mathématiques : « mathématiques », « chiffre », « algèbre », « des X et des Y », « théorème », « Boisbertrand », « diviseur », « quotient » et « règles » qui se combine avec un vocabulaire de la torture « force ingurgiter », « je me débattais », « heurtais du cranes mes barreaux » et « on me tordait » pour ainsi affirmer que les mathématiques eux même deviennent des tortionnaires. En deuxième temps, des connotations péjoratives montre une violence d'abord physiques « je me débattais », « on me tordait » et « on me fourrait », puis une violence intellectuel « on me faisait de force ingurgiter », « on me fourrait sous les os maxillaires » qui sont utilisés par des instruments de torture durant une séance de supplice qu'est devenus les mathématiques « un boisbertrand funèbre », « affreux chevalet des X et des Y », « du diviseur prêtant main-forte au quotient ». Ceci, désigne l'emploie de méthodes cruelles pour lui imposer les mathématiques. En troisième temps, le poème semble être une autobiographie de Victor Hugo, qui raconte son enfance avec les pronoms tel que « je » ou « me » et qui montre que le point de vue est