Commentaire Scene 3 Acte I
Phèdre se montre toutefois encore hésitante, elle évite les questions insistantes de sa confidente à travers des modalités interrogatives au vers 247 : « par où vais-je commencer ? » et exclamatives au vers 249-250 : « O haine de Venus ! […] l’amour jeta ma mère ! » Ces derniers prennent une envolée lyrique par le biais de l’adresse à la déesse Vénus et par les références aux amours lynchées d’Ariane aux vers 253-254 : « Ariane ma sœur […] où vous fûtes laissée ! » Ainsi, cédant aux courtes supplications pressantes