Commentaire sur un extrait des misérables de hugo
Commentaire littéraire.
Extrait des Misérables écrit par Victor Hugo en 1832, « La petite toute seule » raconte la mésaventure de la petite Cosette qui traverse une forêt en pleine nuit. Que symbolise vraiment cette forêt par rapport à la petite fille et que souhaite dénoncer Hugo ? Tout d’abord, nous évoquerons cet environnement dans lequel est plongée la petite. Puis ensuite le comportement et la réaction de Cosette face à cette terreur crée par l’environnement cité précédemment. Et enfin nous nous rapprocherons de la dimension allégorique de la forêt tout en prenant un point de vue non plus sur l’enfant de cet extrait mais sur la cause humaine dans le monde.
La forêt est ici vraiment décrite dans un premier temps comme un environnement très vide avec une totale absence de vie, en effet la mort règne et devient omniprésente. Par exemple « l’immensité sépulcrale » (l-23) renforce cette idée d’absence de vie. De plus « le bois ténébreux sans aucun froissement de feuilles » (l 5-6) rapproche encore davantage cette forêt de la faucheuse. En outre le fait que le champ lexical de la mort ne se fait pas rare sans citer « ténébreux » (l-5) ; « lugubres » (l-11) ; « lugubre » (l-23) ; «funèbre » (l-23) ; « ténèbres » (l-28) ; « apocalypse » (l-29) ; « bruit d’agonie » (l-29). Sans vie, mais pas sans éléments qui contribuent à l’atmosphère infiniment angoissante en désignant simplement une nuit profonde qui se révèle absolument ubiquiste. En effet, les trois occurrences de « nuit » à la fois aux lignes 14, 15 et 21 nous rappellent en permanence de manière simple que l’on est plongé dans la NUIT. S’ajoute à cela une emphase en ligne 13 « le contraire du jour » qui insiste encore une fois de façon négative sur l’obscurité ainsi qu’une diversité d’expressions évoquant l’absence de lumière assez prononcée comme « ténébreux » ; « L’obscurité » (l-12) ; « Ombres » (l-16) ; « noir » (l-20) ; « obscurs » (l-22) ; « l’ombre »