Commentaire voltaire: dictionnaire philosophique, extrait de l'article guerre
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On retrouve, au fil des siècles, une récurrence dans des textes argumentatifs des thèmes liés à ce dont l'homme est proche, Ou parfois, à lui même. Pour Voltaire, écrivain et philosophe des lumières, engagé au service de la vérité, de la liberté et luttant contre l'intolérance religieuse ; l'homme est bien le centre de sa thèse. En 1764, il publie le dictionnaire philosophique dans lequel il combat l'infâme et condense l'essentiel de ses idées philosophiques, morales, politiques et religieuses. Le passage qui nous est proposez correspond à un extrait de l'article "guerre" dans lequel il ironise sur les raisons, les dégâts et les motivation d'un combat, d'une guerre... On pourrait se demander comment Voltaire fait en sorte de convaincre le destinataire et sa thèse; l'inutilité de la guerre. C'est pour cela qu'il conviendra tout d'abord de souligner le ton ironique, de le différencier des procédés de Voltaire pour enlever du sens à la question. Dans un deuxième temps nous déboucheront sur l'appel au ridicule où l'on verra comment l'auteur caricature ses explications dans le texte et plus particulièrement dans le paragraphe de la ligne cinq.Nous commencerons donc pas montrer l'ironie présente dans le texte est c'est dès le début nous remarquerons ce registre quand il parle de la guerre comme un très bel art à fin de produire un effet sur son récepteur. Plus loin il ironise sur le pouvoir des souverains, peut-être frustré, il évoque le strict commandements du prince "Le prince et son conseil voit son droit évident" pour marquer sur la résignation face a cette autorité incontestable à l'époque. Pour achever cette leçon morale, il fait usage de l'ironie avec insistance, il utilise des adjectifs mélioratifs et compare la guerre à une entreprise, qui mis à part son et mon esprit meurtrier fait usage de Dieu avant le combat. "le merveilleux de cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtries [...] invoque Dieu" afin de critiquer à la fois la guerre, le