Commentaire wang fo
Marguerite Yourcenar est une écrivaine française née à Bruxelles en 1903 et meurt à Bangor en 1987. Également elle incorpora L’Académie Française en 1980, elle a été la première femme à y rentrer, puis elle a été aussi poète, traductrice et critique de littérature. Un an avant la deuxième guerre mondiale, elle écrit ‘ Nouvelles Orientales’ (1938), c’est de ses romans très humanistique. Parmi l’un de ces dix nouvelles dans ce livre, on va étudier ‘Comment fut sauver Wang-Fô ?’. Par avant, de l’extrait qu’on va analysée, cette histoire se déroule en Chine et c’est un peintre pauvre et son disciple les protagonistes, qui se sont fait arrêtaient par l’Empereur car celui-ci était désillusionné de Wang Fô, il tue le disciple et oblige à Wang-Fô finir une œuvre avant que ses yeux soient brulés et ses mains coupés, l’extrait qu’on va étudier est la fin de la nouvelle ou les deux personnages rentrent dans la peinture, dans le nouveau monde. D’où on se demande, comment peut on évader le monde réel par l’irréel ? D’une part on montrera que c’est un apologue, en étudiant la définition du mot et le comparant avec le texte, puis on montrera les différents types d’interprétation du texte avec son message et la réflexion sur les rapports entre l’art et la vie. Après l’analyse du texte on peut conclure que ce texte est un apologue. Le but de ce genre est de nous faire passer un message : une morale. Ce texte est un conte fantastique car l’auteur mélange de la réalité avec de l’irréalité comme par exemple, lignes 40, 41 et 42 « Wang-Fô et son disciple Ling disparurent à jamais sur cette jade bleu que Wang-Fô venait d’inventer », le texte a un double sens, il est didactique car il fait que l’auteur suit bien la lecture et doit avoir une bonne interprétation pour reconnaitre la réalité et celle qui ne l’est pas, le lecteur doit trouver le sens explicite de la narration et le sens implicite, (ligne 5 et 6) « Ces gens ne sont pas faits pour se perdre à