Commentaire l'assomoir
La description des personnage et de la maison oblige pour un souci réaliste des détails précis. La description de la maison se fait à l’aide de métaphores, la maison est ici comparée à un ventre vide, ‘‘les murs sonnaient creux’’ l.4. Les personnages sont déshumanisé ils sont décrit comme des animaux, le père Bru dort sur de la ‘‘paille’’l.10, même ‘‘les équarrisseurs’’ l.16 ne voulaient pas acheter sa peau ni sa graisse. Le récit tragique de ces familles est accentué par la description faite par Zola qui les compare à des animaux. Le personnage de Gervaise est généreux, ‘‘dés qu’elle avait du pain, elle jetait les croûtes’’ l.13 au père Bru, bien que la misère la fasse devenir ‘‘mauvaise’’l.13 et qu’elle ‘‘détestait les hommes’’ l.13. Le père Bru ‘‘était comme un chien’’ l.15 pour Gervaise, on le ‘‘laissait crever, parce qu’il ne pouvait plus tenir un outil’’ l.15. Les autres personnages ne sont pas décrit par unité mais faisant parti d’un groupe: ‘‘Trois ou quatre ménages semblaient s’être donné le mot pour ne pas avoir du pain tout les jours’’ l.2,3. Zola utilise tout les détails pour rendre la scène plus réaliste. La description du père Bru se fait à travers le regard de Gervaise, les détail tel que la position, il ’‘s’y mettait en boule’’ l.9 et le lieu, ‘‘sous le petit escalier’’ l.8 rende la scène plus réaliste. De plus les métaphores et comparaison de la maison à un ventre vide fait ressentir au lecteur un désespoir absolu pour les