COMMENTAIRE :
“ETUDES DE LA NATURE” Bernardin de Saint-Pierre

Jacques Henri Bernardin de Saint-Pierre, (1737-1814), écrivain français, disciple de Rousseau et précurseur du romantisme, célèbre surtout pour son roman Paul et Virginie (1787). Dans son texte Etudes de la Nature, Bernardin eloge en quelque sorte l’ignorance, en montrant la vie et les croyances avant les sciences et apres le sciences. Il oppose ses deux termes tout le long de cet extrait se qui met en valeur se qu’il pense de l’ignorance mais aussi ce qu’il pense sur le « savoir » qu’il represente ici comme les « sciences ». Dans un premier temps on analysera la vie et le croyances avant les sciences, et dans un second temps on verra le changement de pensee apres le point de contact de l’ignorance et le savoir, autrement dit, les sciences.

Dans un premier temps on analysera la vie et les croyances avant les sciences. D’apres Bernardin de Saint pierre, l’ignorance est une source de plaisir, et « l’ouvrage de la nature », contrairement de l’erreur, qu’il definie comme « le fruit de nos pretendues sciences humaines et est toujours un mal. » dans cette phrase bernardin oppose completement l’ignorance avec l’erreur, chose que parait un peu ironique car l’ignorance, par definition c’est un defaut, un manque de connaissance, de savoir, d’instruction. Mais bernardin le montre dans son texte comme une sorte de qualite, de « bienfait ». Selon bernardin de saint pierre, l’ignorance est aussi comme une sorte de protection, « que de maux l’ignorance nous cache ! » il veut dire par ca que si on ne sait pas ce qu’il va passer alors c’est plus facil de l’affronter parcontre si on le sait déjà on passe toute la vie preocupes de ces choses la. Bernardin donne des exemples comme « l’inconstances des amis, les revolutions de la fortune, le calomnies et la mort. » que sont des choses inevitables, et des choses que l’ignorance leur donnait une importance minuscule, voire nulle. Bernardin fait aussi allusion a