UE 2.6

SYMPTOMATOLOGIE

I. DEFINITION DES SYMPTOMES

a) Identification des principaux symptômes que l’on peut rencontrer, à l’aide de définitions courtes et précise.

Rigidité mentale : incapacité à changer de point de vue avec et principes inuables. L’incapacité est pathologique.
Négation (déni) : mécanisme de défense contre l’angoisse, consistant à nier l’évidence.
Culpabilité : état de celui qui a commis une faute.
Sentiment de culpabilité : sentiment plus ou moins net de faute subjective qui s’exprime inconsciemment dans le comportement accompagné d’angoisse. Peut être pathologique en cas d’excès. C’est normal de se sentir coupable, cela est fondateur pour l’être humain, c’est bénéfique.
Fabulation : récit imaginaire présenté comme étant réel chez une personne n’ayant pas conscience qu’il fabule. Pas de recul, pas de critique ce qui est pathologique, quand on n’en a pas conscience.
Fixation : attachement excessif à une personne, un objet ou une représentation inconsciente.
Dépendance : tendance à chercher aide et protection auprès d’autrui, à sans remettre à autrui pour toute décision par perte de maturité et d’autonomie.
Idées de persécution : conviction d’une personne qui se croit en but à la malveillance de son entourage ou d’autrui. La conviction devient pathologique.
Phobie : peur irraisonnée et obsédante relative à certaines situations. (Forme de peur extrême)
Troubles de l’humeur : perturbation de l’état thymique fondamentale dominant la vie affective et les réactions émotionnelles d’un individu. (C’est plus fort que lui, a du mal à se temporiser)
Désorientation : incapacité d’une personne à différencier les partie de son espace vital (espace, temps, schéma corporel) et de les restructurer en un ensemble cohérent. Peut être induit par des médicaments.
Somatisation : tendance à éprouver et à exprimer une souffrance somatique en réponse a un stress ou a un traumatisme psychique.
Crise : manifestation soudaine d’une rupture