Conscience de soi
Autrui est ce que je ne suis pas et aussi je ne peut être autrui puisque je suis. Alors comment la conscience de soi supposerait elle autrui s’il ne peut être ce que je suis et qu’autrui ne peut être moi ? Mais si la conscience que j’ai de moi admet autrui, alors je ne peut être ? Ainsi je peut me demander si j’ai réellement conscience de moi comme un individu unique s’il m’est impossible de me distinguer des autres ? Alors on se demande par quel sens la conscience de soi peut-elle supposer autrui ?
La conscience que j’ai de moi semble primitive et certaine. Selon Descartes c’est l’existence du monde et d’une autre conscience que la mienne autrement dit l’existence d’autrui qui parait douteuse. Alors la question qui se pose c’est comment à partir de ma conscience, il est possible que j’ai conscience d’autre chose que de moi et en particulier d’autrui. Toute fois la conscience de soi n’est pas si primitive et immédiate qu’il n’y parait. En effet, il nous arrive de faire des chose sans qu’on en est réellement conscience et sans avoir conscience de les faire. Il semblerait que la conscience de soi ne viennent que lorsqu’il y a une réelle problématique si qui nous fait revenir à la prise de concience. Selon Hegel c’est a partir de l’autre que je reviens à moi. Alors l’altérité d’autrui devient essentielle. Mais en quoi ceci peut être plus fondamentale que celle du monde ?
En effet autrui n’est pas une ré alité immédiate, il y a donc besoin de se débarrasser d’une attitude plutôt naturelle. Il faut poser autrui en étant autrui, ce qui fait que autrui est alors constitué par ma conscience. Y aurait il alors deux consciences de soi ?
Dans un premier temps je ne me vise pas comme tout autre objet du monde, il existe une conscience de soi qui est irréfléchi comme la montré Sartre. Mais elle ne me livre ni comme une chose qui pense selon Descartes ni comme étant telle ou telle personnalité et encore moins comme