Conscience, perception, vérité L’allégorie de la caverne de Platon, la République {draw:frame} Allégorie : représentation sensible d’idées abstraite. Description : Caverne = prison de l’ignorance/ Obscurité ≠ Clarté de la lumière = Connaissance L’ignorance est l’état initial de l’homme. Les prisonniers sont devant un spectacle d’ombres mais ne le savent pas, pensent que c’est la réalité. Les sens témoignent : ex du soleil qui ne tourne pas autour de la terre. Les prisonniers se représentent la réalité. (Impressionnant « fait perception ») D’où perception : Vérité/ Réalité La perception des prisonniers est une fiction imaginaire. {draw:frame} {draw:frame} Perception ≠ Imagination Illusion : Confusion entre réalité objective et une façon subjective de percevoir. Le mirage ordinaire de la vie : le monde paraît si réel qu’on imagine pas la mise en scène qui s’y déploie.  Les chaines sont oubliées (pour nous elles sont intériorisées.  D’où le poids de l’habitude  Préjugés La conversion= libération Selon Aristote : Souffrance = « seconde nature » Acte contraire à la nature liée à l’habitude (acquis stabilisé, incorporé, inné)  Douleur psychologique et physique. Le prisonnier libéré découvre la mise en scène du spectacle de la caverne Distinction entre être et paraître. Vérité des apparences : il faut savoir sortir des apparences pour les comprendre comme telles. ≠ Géocentrisme / Héliocentrisme Apparences= réalité mal comprise Réalité = Réalité bien comprise, libération à l’égard de l’illusion= Conversion du regard. Une idée vraie (comme une loi scientifique) : -ne se voit pas -n’est pas matériel/ sensible  Représentation pour comprendre, intellectuelle, rendre compte de se qui se voit. Ex : Livre X de la République : l’image du lit = -Sensible : Lit concret, objet fabriqué par l’homme -intelligible : Idée que l’on se fait du lit, être Conclusion : Texte sur l’éducation,