Contes
Comme je l’ai dis dans l’introduction du livre L’équation de l’Amour, le fait d’écrire tant de contes pour penser, réfléchir ou méditer, c’est converti en une habitude malsaine et vicieuse, mais le plus grave de tout c’est que j’ai beaucoup d’imagination et juste quelque chose de raisonnable. Bien, quelque chose ou beaucoup ou quasiment-tout !
Prenons en compte ce qu’il y a à prendre, c’est-à-dire, le révisionnisme radical qui imprègne mes petites œuvres, il est très prévisible qu’il nous fasse tous rire au lieu de nous donner à réfléchir ou méditer, au moins, ceux que je connais, à qui j’ai parlé du projet de ce livre, n’ont pas pu réprimer un large sourire, Qu'est-ce qu’il va faire ? La vérité, c’est que c’est un bon signal, parce que j’espérais qu’il me soit donné et qu’aussi, cela m’arrive, surtout quand je pensais à ça, d’avoir autant d’imagination et… !
En prévision des critiques ou des louanges moqueuses qu’ils peuvent m’imputer, j’ai pensé m’en divertir en reprenant quelques uns de mes petits contes chinois ou histoires à dormir debout les plus sympathiques qui étaient parvenu à mes oreilles volcanoïdes. Comme je l’ai dit, je vois un certain amusement dans tous ces contes pour réfléchir et penser.
En définitive, j’espère que vous aimerez la collection de petits contes chinois très courts, de histoires à dormir debout, que j’ai choisis pour réfléchir à l’étrange relativité de la réalité de Don Magufo et la subjectivité de ses circonstances.
J’allais oublier, n’importe quel autre petit conte chinois très court sera bien reçu si… il donne matière à