Contrat d'assurance
L’échange de consentement se matérialisera par l’acceptation des conditions et du contrat. Cette acceptation peut être expresse ou tacite.
S’interroger sur cette notion en droit, c’est se demander, dans le droit des obligations, dans quels cas le consentement explicite est nécessaire et dans quels cas le silence peut valoir d’agrément. Selon les situations en présence, selon les principes mis en jeu, le consentement exige l’explicitation, ou peut être tacite. Mais il s’agit surtout, de connaître la volonté des parties, que celle-ci soit écrite ou non, qu’elle soit exprès ou tacite. Pour cela, on doit étudier quelles sont les manifestations de celle-ci, et comment le juge les interprète. Parfois, des comportements manifestent la volonté, bien qu’aucune parole ou écrit ne soit dite ou signé. Quel est le régime général du consentement dans le droit des obligations (légales et contractuelles) ? Dans quels cas le silence équivaut-il au consentement ? Après avoir étudié le régime commun du