Ce corpus qui nous est proposé est composé de quatre textes issue de recueil de poème de quatre auteurs de 19ème siècle. Ainsi les poème Rêverie de Victor Hugo issue du recueil Les orientales (1828); Rêve parisien de Baudelaire issue du recueil Les Fleurs du mal (1861); Sonnet Boiteux de Verlaine issue du recueil Jadis et naguère (1884) et le poème de Verhaeren issue de Les villes tentaculaires (1895) sont ici présentés. Ces quatre poème ont pour thème commun la ville. Nous allons étudier quel image de la ville se dégage de ces textes. Dans une première partie nous verrons les aspects positifs et dans une seconde les aspects négatifs. Certes ces quatre poème parlent tous de la ville, mais à travers leurs vers, ils expriment un opinion différent de celle-ci. Ainsi dans Rêverie de Victor Hugo et dans Rêve Parisien de Baudelaire, l'aspect positif de la ville est montré. Cet aspect positif est représenté dans leurs rêves comme peut le montrer les titres de ces deux poèmes. On peut aussi le constater lorsque Baudelaire raconte que « le sommeil est plein de miracle »(V5) ou lorsqu'il ouvre ses yeux a la fin de ses rêverie et qu'il découvre que tout ce qu'il a vu n'était qu'illusion « En rouvrant mes yeux pleins de flamme J'ai vu l'horreur de mon taudis » (V53-54) affirme t'il. Victor Hugo, lui se trouve dans un lieu où toutes beautés a été détruite « le soleil et la pluie ont rouillé la forêt »(V6). Celui-ci se prend donc à rêver devant sa fenêtre. Pour lui, la ville de ses rêves serait illuminée et non recouverte par les nuages et le brouillard « Déchire ce brouillard avec ses flèches d'or! »(V12). Celle-ci redonnerait l'inspiration et goût de la vie à cet auteur. Pour Baudelaire, il écrit dans son poème constitué de quatrain que sa ville rêvée serait « un palais infini » (V14) avec beaucoup d'arbres, de végétation, d'eau, d'escaliers et d'arcades. Dans ce poème on peut constater que les champ lexicaux de la rêverie et du surnaturel sont utilisés: « gouffre de diamant