Corpus, le bonheur au siècle des lumières
• La place du bonheur dans le siècle des Lumières
Le XVIIIème siècle marque un tournant. L’esprit des Lumières a longtemps été maintenu dans l’ombre par l'Eglise, mais maintenant, ils ont l'impression d'avancer, grâce à la raison.
On est dans un siècle de foisonnement intellectuel, avec les philosophes des Lumières comme Rousseau, Voltaire, Diderot ou Montesquieu ; et de progrès dans la Science, qui devient très à la mode. De très grands progrès ont lieu, par exemple la découverte de l’électricité négative. Et pour la majorité les philosophes des Lumières, le progrès entraîne le bonheur.
Le bonheur est alors une notion importante et une revendication sociale. Le but de ces philosophes est principalement le bonheur de l’Homme. Ils se retrouvaient dans les salons ou les cafés des villes, lieux de discutions politiques, pour débattre sur cette notion. D’Alembert ou encore Marivaux se côtoyaient au salon de madame Geoffrin. Le bonheur y était ainsi revendiqué et débattu.
Les philosophes ont aussi écrient de nombreuses œuvres dans lesquelles ils exprimaient leurs façons de penser, leurs opinions sur le bonheur et comment l’atteindre collectivement ou personnellement. Pour eux, la