Corpus malade imaginaire , histoire de gil blas de saintillane, les vingt et un jours d'un neurasthénique.
Nous nous demanderons en quoi consiste le « triomphe de la Médecine » dans ces textes du corpus mais également comment ils révèlent du registre comique dans leurs œuvres.
Dans un premier temps nous étudierons le triomphe de la Médecine exposé dans ces différents textes. Puis, dans un second temps nous étudierons l'utilisation du registre comique.
Pour commencer, nous verrons ici en quoi consiste le triomphe de la Médecine dans chacuns de ces textes. Les trois écrivains parlent dans leurs différentes œuvres d'un personnage se faisant passer pour un faux médecin, ou d'un autre médecin voulant la mort d'un de ses patients en lui souscrivant un faut traitement et pour finir d'un médecin , vif et gai, de gestes concasses qui trouve des symptômes à un de ses patients rien quand le regardant. En effet, dans le premier texte de Molière, le médecin Toinette est en réalité un faux médecin qui n'a jamais étudié la médecine « Toinette, la servante pleine de bon sens d'Argan, lui tend un piège en se faisant passer pour un médecin. » On remarque bien que Toinette n'est pas un vrai médecin, et qui dit de ces autres professionnels que ce sont des « ignorants » (ligne 10) et qu'ils ne trouvent pas la maladie dont est atteint le patient, « il dit que c'est du foie, et d'autres disent que c'est de la rate » (ligne 8-9). A travers cette phrase on voit bien qu'aucun