Corpus de texte

Ce corpus est composé de quatre extraits de romans. Le premier, Les Essais, issu du livre II chapitre 30 qui à été écrit par Michel de Montaigne en 1595. Le second, des monstres et prodiges écrit en 1573 par Ambroise Paré, le troisième, L'Homme qui rit à été écrit en 1869 par Victor Hugo et pour finir l’acte 2 de Rhinocéros écrit par Eugene Ionesco . A travers ces quatre extraits nous allons dans un premier temps étudier l'image du monstre. Puis dans un deuxième temps nous allons nous intéresser aux messages transmis par les auteurs.

Tout d'abord , nous allons analyser l'image du monstre de chacun des personnages de ces extraits. Dans Les Essaies , nous voyons dès la première ligne que le personnage est un enfant. Il est décrit , à la ligne 3 comme «un enfant avec une étrangeté». Le lecteur va par la suite deviné que l'enfant a en réalité un frère siamois grâce aux lignes 7 et 8 : «Il était attaché et collé à un autre enfant sans tête». Il n’apparaît pas comme un monstre, mais comme on peut le voir aux lignes 12 à 15 comme une création de Dieu.
Dans le dernier extrait de Victor Hugo, Gwynplaine est décrit comme un homme au visage monstrueux. On peut le voir a la ligne 57 : « Cet homme était effroyable. » et a la ligne 60 « insupportable a voir et impossible a regarder. » Le champ lexical du rire est présent , comme a la ligne 1 : « en riant » , « rire », Les citation ligne 1 à 4 donne une impression d'obsession. Le vocabulaire de l'automate ainsi que le champs lexical de la machine sont présents : on voit a la ligne 7 « rire automatique » ligne 3 : « Comme une roue se concentre sur un moyeu ».Gwynplaine est donc perçu comme une sorte de machine , mais il est aussi perçu comme un monstre. Dans des monstres et des prodiges, Ambroise Paré ne va pas parler ou identifier un persnnages concret il va juste parler de la monstruosite comme il en a entendu parlé « d’étrange espèces » ligne 3 , « contre nature » ligne 4, il identifie les