Corpus sur la mort
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Tout d’abord, les textes ce situent tous à la fin des romans comme nous le prouve l’introduction de chaque textes : « La dernière partie de L’Assommoir », « les dernières lignes de ce roman » pour Malone et «les dernières lignes du roman » pour le texte de Cohen.
De plus ces extrait montrent que la mort est progressive, lente. Dans L’Assommoir la mort s’étend sur plusieurs mois : « pendant des mois » ligne 1.
Dans le texte de Beckett, Malone cherche à retarder sa mort en divagant longuement comme nous le prouve la répétition de « ni » aux lignes 3, 4,5. De plus son discours n’a pas de sens il semble même bégayer comme à la ligne 7 « ni lumière lumière » ou encore à la ligne 3 « ni avec ni avec », on remarque également l’absence de ponctuation à partir de la ligne 3 ce qui alourdie le texte. Puis la longueur des phrase de plus en plus petites nous indique que la mort aproche au fure et a messure que l’on lit le texte.
Enfin dans Belle du seigneur la mort est lente par l’engourdissement progressif du corps d’Ariane : « le raidissement montait »
Enfin, bien que ces texte on des ressemblances, la mort est représenter de différentes manières.
Dans L’Assommoir la mort est lente et mystérieuse, Gervaise dépérie petit à petit comme nous le montre l’expression « la mort devait la prendre petit à petit, morceau par morceau » aux lignes 9-10. Ensuite le mort est mystérieuse car on ne connait pas la cause de la mort « on ne sut jamais au juste de quoi elle était morte » lignes 10-11.
Dans Malone on