Correction
Pour justifier cela, avec l’aide des documents 2 et 3 et de la méthode de la datation relative, on peut déduire la chronologie des événements. Tout d’abord le document 3, qui est un tableau, nous présente la composition en fossiles des couches Y1, Y2 et Z, et on peut rapprocher ce document du document 2, qui nous présente, à travers une échelle biostratigraphique, à quel moment il y a eu les ammonites, qui sont dans la couche Z, les trilobites goniatites, qui sont dans la couches Y2, et les trilobites, qui sont dans la couche Y1. On remarque donc que la couche Z est la plus récente, puisque les ammonites sont les plus récents, vis-à-vis des trilobites, qui eux sont plus anciens. De plus les trilobites goniatites, sont plus récents que les trilobites, puisque les trilobites sont les plus anciens dans l’échelle biostratigraphique. Egalement, la couche X est la plus ancienne de toute, puisque celle-ci est celle qui se situe le plus bas.
On peut ajouter à cela, que l’on sait que, dans la datation relative avec le principe de superposition, les formations les plus basses sont les plus anciennes, et les formations les plus hautes sont les plus jeunes.
Maintenant, avec la datation absolue, et la méthode du rubidum (Rb) – strotium (Sr), qui est la méthode la plus générale, et très fréquemment utilisée pour la datation des granites, nous allons calculer l’âge de celui-ci.
Pour cela, on construit le graphique suivant :
(graphique)
Ce graphique nous permet d’obtenir une droite, et l’on sait que l’équation de celle-ci