Corriger Hume
,
la pensée semble douée dunepossibilité infinie. Dans son uvre
« Enquête sur lentendement humain
»
,
David Hume se penche surlorigine de nos pensées et le lien entre pensée et expérience sensible en tant que perceptions. Nouspourrions ainsi nous interroger sur la capacité soi-disantillimitée de lesprit humain. Ya-t-il une limite dansnos pensées et en quoi consiste ces limites ? Lauteur apporte ainsi la thèse empirique selon laquelle touteconnaissance procéderait dune expérience et de nos sens
,
contredisant de ce fait la capacité illimité depenser. Les étapes de son développement constitueront la première partie de notre étude. De ce fait
,
Hume débute son argumentation par lévocation de la thèse commune selon laquelle ma pensée est horsdes lois naturelles ou rationnel. Puis il tente de trouver lorigine des idées en restreignant la liberté de lapensée. Enfin il élargit sa thèse au domaine de la religion et de lidée conceptuelle dun Dieu transcendant.Après avoir étudié largumentation de cet auteur
,
nous nous intéresserons aux enjeux philosophiques dece texte ainsi quà ses limites. En effet
,
on pourrait sinterroger sur la primauté de lexpérience. Ny a-t-ilpas une possibilité pour quune idée préexiste à lexpérience ?Tout dabord Hume développe la thèse du sens commun
,
basée sur un axiome
,
en affirmant que
« Rien, à première vue, ne peut paraître plus libre que la pensée humaine »
. Je peux concevoir de ce fait ce dont jenai pas encore eu lexpérience et que je nai jamais vus
,
voir ce qui nexiste pas dans la réalité. La capacitéde lêtre à former des idées
,
aussi imaginaires et surnaturelles quelle soient semble indubitable. Rien nemempêche
,
il est vrai
,
de penser tel ou tel choses de tel ou tel manière car je suis le seul à avoir accès àmes