Humanité & Sociologie.

Adam SMITH, La théorie des sentiments moraux.

Introduction :
Adam SMITH 1723-1790, d’origine écossaise. Il suit des études en philosophie et est d’abords un philosophe. Le grand thème dans l’université écossais est : Le grand l’Homme ému par deux instincts, il agit dans un premier temps avec des motivations purement égoïste, cela ne l’empêche pas d’être aussi altruisme. A l’issue de ses études il envisage de rentrer dans les « », mais ses convictions religieuse ne sont pas extrêmement fortes. Il donnera des conférences pour les bourgeois, c’est là qu’il se fait repérer par le grand philosophe David Hume. Il lui obtient un poste de professeur philosophie morale. Il publie en 1959, son premier ouvrage : la théorie des sentiments moraux. Cet ouvrage connait un grand succès, il devient le précepteur d’un jeune duc. Il voyagera avec ce duc, jusqu’à se retrouver en France, il rencontrera les encyclopédistes, et surtout il rencontre un économiste du nom de Jean Baptiste SAY, il découvre l’économie, il retourne en Ecosse et publier 1776, La richesse des nations. Il devient douanier à la fin de sa vie.

I) La vie en société.
1. Première problématique qui se pose : L’intérêt général suppose-il un comportement marqué par la vertu de chacun ?
2. Deuxième, comment des individus qui mettent en avant leur propre intérêt peuvent-ils coexister au sein d’une même société ?

1. L’Homme est fondamentalement vicié, Au 18ème siècle la définition est la suivante, « le vice c’est la recherche par l’individu de ses propres intérêts » Alors puisque les Hommes sont mauvais et égoïste, comment font-ils pour vivre ensemble. Les chrétiens répondent qu’il faut imposer des valeurs appelé les 10commandements qu’il faudra respecté pour ne pas faire de pêcher et ainsi finir en enfer. Pour les chrétiens, les Hommes sont des pêcheurs. Pour Adams, les Hommes sont des viciés, et pour lui c’est à partir du vice que la société fonctionne normalement