La conscience de soi est ce qui défini essentiellement le sujet, alors que je révoque tout en doute, il y a quelque chose dont je ne peux douter car pour douter il faut un « je » qu’existe de manière certaine. Sil n’y a pas de « je », il n’y a pas de doute et le simple fait de douter implique l’existence nécessaire Dun sujet puisque le doute est une pensée.
La conscience ne vient pas aux hommes au contraire, la conscience existe des qu’on parle d’homme, je pense donc je suis, donc je me définis comme quelqu’un qui pense. On ne peut pas vivre seulement avec ca.
Comment je fais pour prendre connaissance du reste du monde qui est autour de moi ?

B) comment le sujet construit l’expérience qui est la sienne ?
Comment faire pour sortir du solipsisme ?
Solipsisme= fait d’être complètement seul et de connaitre que soi même.
S’il peut se dire qu’il est imparfait, c’est qu’il a une idée de la perfection. Cette perfection, il va l’appeler Dieu. Elle à tout crée autour de moi, et elle est parfaite. Elle ne peut pas vouloir me tromper. Donc tout ce qui est autour de moi ne peut être faux puisque ceste la perfection qui l’a créé. Dans ce qui m’entoure, il y a des choses de vraies. De plus je suis certains que quelque chose autour de moi existe.
Si la perfection ne me trompe pas, d’où viennent mes erreurs ?
Selon Descartes, la pensée, c’est 2 facultés :
Faculté= capacité humaine clairement déterminée
2 facultés : - la faculté de jugement (de choisir) fait de décider quelque chose, d’affirmer ou de nier. Fondé sur la volonté. Selon Descartes, faculté infinie qui ne peut être bornée par rien, même quand on refuse de choisir, c’est un choix, une volonté. - la faculté de connaissance, le fait d’acquérir et d’accumuler des connaissances. Faculté limitée par la mémoire.
L’erreur est liée a la faculté de jugement et a la faculté de connaissance donc je sais comment ne plus faire d’erreurs, et si j’en fais, ce sera uniquement de ma faute avant de juger, il faut arriver a