Criminologie
Déjà dans les premiers siècle, les « programmes » concernant les infracteurs de la loi avaient comme but de : « neutraliser les infracteurs, dissuader le public et corriger celui qui a enfreint la norme de conduite » (Sénèque). Ce n’est qu’après la 2e guerre mondiale qu’il y a eu de grands changements dans les programmes thérapeutiques au Canada. Des spécialistes au niveau du comportement feront dorénavant parti des centres correctionnels Canada afin d’implanter différents programmes aidant le détenu à socialiser et à se réhabiliter. Tout ceci fut mis en place vers les années 1950 et 1960. En 1970 il y aura une crise majeure par rapport au manque de résultats des programmes thérapeutiques. Un article publié mentionnait que les programmes dans les institutions pénales étaient trop contrôlant, trop répressifs et n’avaient pas autant de résultats, donc, que le taux de récidive était quand même élevé. Par la suite, une nouvelle technique d’intervention est arrivée : on n’essai plus de rendre les délinquants « normale », mais maintenant on essai de poser un certain diagnostique afin de classer ces individus.
Il y a d’important changements dans l’évolution thérapeutique et on peut repérer ces grand changements dans 3 dimensions telles : dimension discursive (programme au niveau cognitif), la dimension technique (les diverses outils pour les évaluations « clinique ») et pour terminer la dimension institutionnelle et politique (responsabilité des détenus). Dans cette dernière dimension, il sera maintenant question de la participation constante de la personne concernée dans le programme thérapeutique, afin que l’individu soit davantage motivé à son progrès.
Donc, nous pouvons attribuer tous ces changements, cette évolution impressionnante, aux multiples critiques faites dans plusieurs études scientifiques. Sans cela, le