Découverte du photolangage
Introduction 2 Première séance : une étonnante découverte du dispositif 3 Deuxième séance : première séance en grand groupe 4 Troisième séance : mon absence du groupe 4 Quatrième séance : une dernière séance pour déposer nos angoisses 5 Conclusion 7
Introduction
Actuellement en première année de Master 1 de Psychopathologie et psychologie clinique, j’ai pu, au cours de ce deuxième semestre découvrir la technique du photolangage.
Ayant choisi dans un premier temps le Travail Dirigé de Psychopathologie précoce et ayant assisté au premier cours j’ai finalement décidé de m’orienter vers une autre unité d’enseignement, de part une formation très théorique à laquelle j’ai déjà pu faire face durant mon premier semestre.
Ma curiosité pour ce dispositif a été d’autant plus éveillée sachant également que cette méthode à été crée , développée et diffusée par des psychologues lyonnais dont Madame V. que nous avons la chance d’avoir au sein de notre université.
De plus, de nombreux collègues de psychologie m’avaient fait part de leur enchantement envers la méthode du photolangage. Je n’ai donc pas hésité à m’orienter vers cette option afin de découvrir comment se déroule concrètement un atelier de médiation thérapeutique.
Je tenterai ainsi à travers ces quelques pages de faire part de mes ressentis en fonction du déroulement de chaque séance. J’exposerai également dans une dernière partie de ce dossier tout ce que j’ai pu apprendre de cette unité d’enseignement.
Première séance : une étonnante découverte du dispositif
La première séance de photolangage s’est déroulée en petit groupe. Le dispositif mis en place à été dans un premier temps un élément plutôt déstabilisant pour ma part. En effet, la disposition des chaises en rond m’a immédiatement renvoyée à l’image d’une thérapie pour alcoolique anonyme.
Ne connaissant pas la méthode utilisée dans un groupe de photolangage j’ai donc été réellement surprise. Je soulignerai aussi