croissance économique mondialisation
Celle-ci s’est longtemps mesurée par sa production, son produit intérieur brut* (PIB). On utilise désormais l’indice de développement humain (IDH), notion de développement et non plus de croissance, qui prend en considération non seulement le revenu par habitant, mais aussi l’espérance de vie et le niveau d’éducation.
Mais cette croissance n’est pas linéaire. Périodiquement, des crises ou des dépressions plongent le monde dans des phases d’instabilité et de désordre économique. Ces crises mettent en lumière les limites du capitalisme et les liens d’interdépendance entre les différentes parties du monde. Elles permettent au capitalisme de s’adapter et à de nouvelles puissances d’émerger. Il en émerge des « économies-monde » successives.
Périodes de croissance du PIB et de prospérité alternent avec des crises* provoquées par des krachs* boursiers. Ces crises mettent en lumière les limites du capitalisme et les liens d’interdépendance entre les différentes parties du monde. Certains économistes voient dans cette succession de périodes de croissance et de dépression une alternance de cycles économiques.
Périodes de croissance du PIB et de prospérité alternent avec des crises* provoquées par des krachs* boursiers. Ces crises mettent en lumière les limites du capitalisme et les liens d’interdépendance entre les différentes parties du monde. Certains économistes voient dans cette succession de périodes de croissance et de dépression une alternance de cycles économiques.
À partir des années 1830, la révolution industrielle gagne la Belgique, la France et l’Allemagne puis, les États-Unis (après la guerre de