Cybercriminalité
Source : www.pwc.be
Bruxelles, le 29 Novembre 2011
Dans l’article il est question de fraude économique rencontré au sein des entreprises.
Ainsi dans le 1er paragraphe, on apprend que les entreprises sous-estiment leur vulnérabilité et sont plus souvent victimes de fraude économique qu’elles ne l’imaginent, des fraudes qui peuvent couter gros, à titre d’exemple on apprend que pour une entreprise sur dix la perte serait supérieur à cinq millions.
Afin de cibler et identifier ce fléau des études sont réalisées, études dont pas moins de 3.877 entreprises du monde entier ont bien voulu participer.
A travers ces enquêtes, il en ressort que 34 % des entreprises participantes affirment avoir été confrontées à un ou plusieurs cas de fraude au cours de l’année écoulée, soit une augmentation de 4 % par rapport aux résultats de 2009. En Belgique, ce chiffre atteint même 38 %.
Cependant, cette année, une nouvelle-venue fait une entrée fracassante dans l’étude : la cybercriminalité*.
Avec un taux de 44 %, la cybercriminalité est beaucoup plus élevée dans notre pays que dans le reste du monde (23 %), et elle vient se classer au deuxième rang des différents types de fraude. (derrière le détournement de ressources et devant la corruption)
Et si le taux est si grand et tend à le devenir encore plus, c’est que contrairement aux autres fraudes, l’auteur n’est pas physiquement présent sur le lieu de son délit et donc il est moins risqué pour le fraudeur. De plus, il est plus difficile à identifier le coupable ou de déterminer où il se trouvait au moment des faits. (la plus part du temps il sera «caché» dans une autre juridiction, réduisant de fait, les chances d’être retrouvé)
Que la menace sois internes et externes, il apparait clairement que les moyens mis en place pour l’endiguer sont loin d’être suffisant.
En effet, une entreprise sur trois en Belgique