Danbé, critique littéraire
Rester dans le Danbé, un combat…
Ce roman autobiographique, touchant et morale en est la preuve formelle que la vie reste un combat, auquel il ne faudra jamais baisser les bras. Une sorte de leçon de vie, (Up)percuttée par quelques deuils familiaux, Aya Cissoko reste dans le «Danbé», la dignité en malinké pour ainsi affronter les péripéties tournante de sa vie. Gauche, droite, active dans le ring,
Prendre garde, être en posture de combat, contrer ou bien riposter. Il faut tenir sur ses deux jambes, le déséquilibre est présent partout surtout après certaines chutes. Il faut savoir se relever plus fort c'est ce que nous montre ce livre. Ces blessures reste la série de deuil avec la disparition de son père et de sa petite sœur dans un incendie et d’en rajouter avec le décès du petit frère onze mois plus tard. Née de parents maliens, élevée par sa mère, Aya dit Cissoko dont connaît les conditions de vie difficiles d’une famille pauvre et déracinée ainsi une jeune femme issue d’un milieu défavorisé apprend à surmonter les épreuves et trouve refuge dans la boxe. sa plus belle victoire reste sa dignité, «Danbé» et non le titre dont elle à excellé qui est la boxe.
Si je puis opiner, ceci est tout simplement une sorte de leçon de vie, touchante, si l'espoir lui parut brûlé vive par l'enfer de son vécu, on constate qu'elle en sort plus forte. Une course contre la montre, entre espoir et sacrifice, endurante elle a su encaissée les coups et avancer de pleins grès.
Le Combat ? C’est celui de tous les jours : rester digne, rester libre, rester intègre.
Aéré…! Un bol d'air, une vie simplement exemplaire. Envie de crier: MERCI. Humble et digne. C'est magnifique de vérité, de simplicité, et de grand. Balafrée par la vie, elle ne délivre pas de leçon de morale mais son parcourt, oui. c'est là où elle dépasse le lot. Alors, merci Aya, parce que vous ne vous enfoncez pas dans la sensiblerie. Quelle