Dans les sociétés contemporaines, l’existence de sub-cultures disparates offre aux acteurs sociaux la possibilité de développer des comparaisons et, par voie de conséquence, de prendre des distances par rapport à leur
Aujourd’hui un gros dilemme apparaît dans toutes les cultures. De simples différences (langues, couleur de peau…) peuvent provoquer de grandes disparités dans une même culture d’origine.
Dans cette phrase, on nous explique que dans les sociétés actuelles des différences (création de sub-cultures) vont naître et créer des comparaisons et créer des différences avec la culture d’origine. Face à cette affirmation, je pense qu’on peut l’observer au quotidien. Par exemple en France, nous descendons tous des gaulois, d’une même culture d’origine, mais des régions comme la Bretagne ou la Corse, montre de réelles contradictions dans la culture française d’origine. Chacun parle sa langue et revendique une certaine indépendance par rapport au gouvernement français. Quand on arrive dans ces régions on peut ressentir une certaine distance, ils veulent une certaine reconnaissance. J’ai vécu plusieurs situations qui montrent l’existence de sub-cultures. Prenons l’exemple des antillais, qui est un peu particulier, puisque même si nous sommes dans la culture française, il y a un certain rejet des Métropolitains en parlant entre eux l’antillais et en mettant un peu à l’écart les français. Plus personnellement, j’habite dans la région stéphanoise, une région minière et très proche de son équipe de football (l’ASSE). Les stéphanois dans les années 60, travaillaient soit dans les mines, soit dans l’industrie des armes ou des vélos. Ils étaient quand même considérés comme une population assez pauvre, travailleurs. Dans la ville voisine (à 75kms), Lyon était considérée comme la bourgeoisie. Les grands, les riches y habitaient. Les grandes rivalités apparaissent à ce moment-là, les ouvriers se retrouvent autour de leur équipe de foot et