Dans quelle mesure le marché peut-il s'autoréguler
Si vous connaissez le thème traité, merci d'indiquer les passages à sourcer avec {{Référence souhaitée}} ou, mieux, d'inclure les références utiles en les liant aux notes de bas de page. (Modifier l'article)
La forme ou le fond de cet article est à vérifier.
Améliorez-le ou discutez des points à vérifier. Si vous venez d’apposer le bandeau, merci d’indiquer ici les points à vérifier.
Cet article provoque une controverse de neutralité (voir la discussion).
Considérez cet article avec précaution. (Questions courantes)
Un système qui ne pourrait régler son propre fonctionnement dans le contexte de son autonomie propre pourrait être exposé à des risques d’emballement ou au contraire d’étouffement. C’est pourquoi dans de nombreux systèmes on observe un ou plusieurs mécanismes, parfois spontanés, d'autorégulation, c’est-à-dire de régulation assurée par le système lui-même. Ces mécanismes sont étudiés par la cybernétique.
C’est dans certains cas le fait qu’ils possèdent cette autorégulation qui leur donne une stabilité suffisante pour qu’on ait l’occasion de les observer. C’est le cas par exemple des phénomènes de trombe, tornade, cyclone, et vraisemblablement de la grande tache rouge de Jupiter.
Sommaire [masquer]
1 Trois exemples typiques
1.1 Neige
1.2 Solutions tamponnées en chimie
1.3 Autorégulation dans le monde vivant
2 Autorégulation physique
2.1 Thermostat
2.2 Régulateur à boules de James Watt
2.3 Autorégulation du Soleil
3 Autorégulation en chimie
3.1 Principe de Le Chatelier
3.2 Loi d’action de masse et effet tampon
4 Autorégulation en biologie (cas d’un seul organisme, par opposition aux populations)
4.1 Glycémie
4.2 Système hormonal
4.3 Neurotransmetteurs
4.4 Système immunitaire
4.5 Expression / promotion / inhibition et autres régulations des gènes
5 Autorégulation et économie
5.1 Monnaie
5.2 Autorégulation du niveau de concurrence