Dans quelle mesure les romances de Camus sur le héros de romans (texte D) sont-elles vérifier est illustré par les textes de Montesquieu (texte A), Malraux (texte B) et Bernanos (texte C) ?

523 mots 3 pages
La question de corpus :

Le texte de Montesquieu (texte A) est un extrait des lettres persanes écrit en 1721, qui est un conte philosophique, le texte de Malraux est un extrait de la condition humaine (texte B) écrit en 1933 et le texte de Bernanos est un extrait de journal d’un curé de campagne (texte C) écrit en 1936 et le texte de Camus est un extrait de l’homme révolté (texte D) publié en 1951.
Camus nous interroge sur la figue du héros, et c’est ce qui donne lieu à l’interrogation suivante : En quoi les textes de Montesquieu, Malraux et Bernanos vérifient les remarques de Camus sur le héros de roman ?
Camus définit son héros comme un être humain avec des forces et des faiblesses qui nous sont communes, d’ailleurs le héros évolue dans le même monde que nous à la différence près que le héros va jusqu’au bout de son destin, le vit et l’assume jusqu’à la fin. Ainsi, le héros nous semble humain avant tout et donc proche de nous, car il est doté de forces et de faiblesses, notamment dans le texte de Montesquieu ou l’héroïne a pour faiblesse son amour des hommes, et fait preuve de tromperie et de bassesse en ayant trompé le sultan sur son amour durant leur relation alors qu’elle le haïssait. Dans le texte de Malraux, le héros fait preuve de lâcheté tout en ayant offert son poison à ses camarades dans un geste de compassion afin que ceux-ci soient épargnés d’une mort douloureuse. A l’instant où il offre le poison à ses camarades, il ne pense pas à sa mort, cependant, à l’approche de son exécution, il regrette de leur avoir offert car il aurait préféré que les gardes le tuent avant d’être brûlé vif. Dans le texte C, Bernanos définit l’héroïsme, comme une implication spirituelle profonde, que de rares personnes atteignent. En effet, il définit ainsi ceux qui ont tenté de s’investir alors qu’ils ne l’ont fait que superficiellement. Pour lui, c’est l’intention et non les faits qui justifient le caractère héroïque d’un homme et de ses actions. Il traite des petits

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