Cela aurait pu être une bonne nouvelle pour les pays les plus pauvres de la planète. Les 50 pays les moins avancés (PMA), dont les deux tiers se situent en Afrique subsaharienne, ont connu en 2004 la plus forte croissance de leur PIB depuis vingt ans : 5,9 % en moyenne. Mais dans ces pays plus qu’ailleurs, la croissance n’est pas synonyme de développement.
Ainsi on peut se demander si la croissance bien qu'étant un élément déterminant du développement favorise t'elle toujours ce dernier.
La croissance semble indéniablement source de développement avec cependant ses limites. Pour le montrer, nous verrons dans un premier temps que la croissance permet de créer des richesses favorable au développement et que les pays qui se sont développés sont ceux qui ont connu la plus forte croissance économique, pourtant dans une seconde partie nous montrerons et expliquerons que dans certains cas cette dernière n'est pas suffisante à elle seule au développement.

Le PIB a souvent été et reste l'indice de référence pour comme le cite le document 3, "d'évaluation de la croissance et de la santé économique d'un pays"
Pourtant ce dernier ne prenant pas en compte de nombreuses données essentielles liés au développement, il a donc fallu par la suite, dans les années 1990, définir un indice moins économique comprenant des notions telles que le bien être ou encore la "santé sociale".
A partir de la est né l'IDH, l'Indicateur de développement humain, incluant le niveau de vie ( PIB réel par habitant ), l'espérance de vie et enfin la durée moyenne des études.
A partir de ce dernier on peut faire de nombreuses suppositions, en effet un IDH élevé, a savoir lorsqu'il se rapproche de 1 et significatif d'un pays très développé au niveau de vie élevé. Bien entendu avant d'atteindre de tels résultats, encore faut il qu'il y ait eu croissance au préalable. Ainsi la croissance favorise le développement uniquement si de nombreuses conditions sont réunies, en effet, suite à la création de