Quel est le problème?
De la pauvreté à l’itinérance
Beaucoup de gens croît que la pauvreté n’existe que dans les pays défavorisé ou en voie de développement et ils n’y prêtent pas ou peu d’attention, pourtant la pauvreté est un phénomène mondial, qui grandit de jour en jour. Par contre, au Canada, la pauvreté ne signifie pas la même chose qu’en Afrique. Elle se mesure plutôt au manque de revenu et à l’incapacité de payer des besoins essentiels comme l’alimentation, le logement et les vêtements. Les familles vivant dans des situations semblable bénéficies généralement de l’aide sociale, ou ils travaillent au salaire minimum, il y a également ceux qui ont un travail atypique et plus encore. Il y a des impacts psychologiques et sociaux qui entrainent la honte, l’humiliation et des déceptions, pour en nommer que quelques un.
En 1998, Santé Québec a fait un recensement sur les personnes qui ont fréquenté un centre d’hébergement, une soupe populaire ou un centre de jour et ils ont compté 12 666 personnes qui étaient sans domicile. À Montréal, ils ont compté 6 500 femmes. On compte aussi 70% des itinérants, qui sont atteint de trouble psychiatrique également lier à l’alcool et la drogue, etc. 35% étaient atteint de pathologie psychiatrique tell que la schizophrénie et les troubles bipolaires. Il y a un lien important entre la santé mentale et l’itinérance, il y a ainsi plusieurs autres déterminants qui influencent la santé mentale. Il ne faut pas oublier que 35% des itinérant aurait fait une tentative de suicide.
Pourquoi la société marginalise les pauvres? Dans une société moderne comme aujourd’hui, comment cela se fait-il, qu’il y a encore autant de gens qui vivent dans de malheureuses conditions de vie et à l’écart de la communauté?
Tout d’abord, il y a quatre grandes catégories de pauvre. Il y a la pauvreté relative, la pauvreté absolue, l’exclusion sociale et la marginalité. Chacune d’eux sont différentes et nous verrons pourquoi.
Pauvreté relative : Une