9/16/12
TE1 – Demain dès l’aube Le poème Demain dès l’aube, a été publié en 1856 dans le recueil Les Contemplations, de l’auteur célèbre, Victor Hugo. Dans ce poème, Hugo décrit un voyage plein de solitude, à la tombe de l’interlocuteur. Le locuteur s’adresse à l’interlocuteur, qui est mort mais on peut seulement deviner pendant combine de temps, leurs sexes, leurs âges, ou la relation entre le deux. Il est seulement évident que le locuteur aime profondément l’interlocuteur et lui manque, ainsi, le registre est informel. Le poème est écrit au alexandrin, avec trois strophes, chaque avec quatre vers, et des rimes croisées. Le poème est écrit dans le style dramatique, alors il est composé comme une conversation. Le locuteur décrit ses projets en voyageant à la tombe d’interlocuteur, ce qu’il va voir et faire, et comment qu’il va se sentir. Il réfléchit aussi sur ses sentiments envers l’interlocuteur, mais la composante principale est la description de comment le locuteur va se comporter et se sentir pendant son voyage. Le ton du poème est tout à fait mélancolique. Le locuteur manque évidement l’interlocuteur, et il sait qu’il ne peut rien faire pour le rejoindre dans cette vie. Hugo utilise des mots comme « seul », « inconnu », « sans », « rien », « triste » et « aucun » pour mettre en relief la solitude du locuteur et l’idée de la profondeur de sa perte. Cette solitude est le thème principal dans le poème. Le phrase « le jour pour moi sera comme la nuit » évoque l’image de noirceur, est c’est une métaphore pour la vide totale de la vie du locuteur au cause de sa perte. À la deuxième strophe du premier vers, Hugo change le rythme en utilisant un point, une virgule et d’allitération du son « t » pour mettre l’emphase a l’idée que le locuteur et l’interlocuteur sont censés à être ensemble. Cependant, la destine avez séparé les deux, alors dans le troisième vers de la deuxième strophe, la position du corps du locuteur, son « dos courbé » et « mains croisées »,