Demain ?
Plus d'extraits de La crise du marché du vin [...] En effet, les entreprises ont du mal à attirer des capitaux et à financer les investissements. En conséquence de ce manque de capitaux, les entreprises n’ont que très rarement un service marketing, et la construction d’un couple marque-AOC est difficile à maintenir intact. De plus, ce genre d’investissement est pénalisé par le risque du passager clandestin, qui se sert de l’AOC pour bénéficier de cette notoriété. • Rendre plus crédibles les signes de qualité : L’AOC est censée être pertinente. Or elle est devenue inintéressante, de par la fragmentation de la production, et surtout par la dégradation de la qualité qui s’est ressentie ces dernières années. [...]
[...] La couleur des étiquettes changera avec la couleur de vin. La couleur des étiquettes sera toujours vive, originale et changera des étiquettes blanches traditionnelles. L’étiquette principale ne sera pas surchargée mais aura juste les informations légales. En plus d’avoir un produit avec des étiquettes vives (étiquette bleu ciel sur un vin rouge par exemple) qui sort du linéaire