Devoir maison de physique
En effet, c’est ce que nous indique le premier document. A gauche figure un graphique nous montrant le gain d’espérance de vie à 30 ans qui varie en fonction du taux de PM 2,5 (auquel la pollution est réduite). On nous indique qu’avec un taux de 4,9 µg.m-3 PM 2.5, un gain de 9 mois en espérance de vie serait envisageable. Puis, avec un taux de 15 µg.m-3 PM 2.5 (taux d’objectif fixé par le Plan national santé-environnement de 2009) un gain de 3 mois d’espérance de vie pourrait être espéré. Alors, on constate que les PM 2.5 sont bien nocives pour l’organisme …afficher plus de contenu…
En effet, les 48 000 personnes ne sont pas des morts issues des particules fines, mais, au contraire le nombre de décès qui pourrait être évités. C’est pourquoi, il nous est indiqué, qu’avec un taux de particules fines faible dans l’air, comme dans un village de haute montagne et par conséquent, qui aurait une faible activité économique, (4,9 µg.m-3 PM 2,5), il pourrait y avoir 48 000 vies qui échapperaient à un décès issu de la pollution. Puis, pareillement pour un taux de 10 µg.m-3 PM 2,5 (valeur recommandée par l’Organisation Mondiale de la Santé) on pourrait éviter environs 17 700 morts. Pour être plus claire, il s’agit de 48 000 vies qui seraient être épargnées dans le cas où elles vivaient dans ce cadre avec beaucoup moins de pollution ; en haute