Dissert le forgeron zola
L'implantation ne laisse pas forcément de cicatrices visibles car ils peuvent être implantés en passant par la gorge, le nez, ou du côté de l'œil, en utilisant des méthodes similaires à celle du « pic à glace », utilisée pour faire des lobotomies dans les années 1960. L'implantation de certaines régions du cerveau peut nécessiter de laisser une cicatrice dissimulée sous les cheveux ou derrière la tête, au niveau du cou et de l'oreille, ou à d'autres endroits du corps en fonction de l'emplacement de la batterie qui alimente l'implant cérébral.
Les implants sont contrôlables à distance, comme le « stimoceiver » mis au point par José Delgado, et ne nécessitent pas de fortes capacités électroniques de traitement de l'information, de nombreux travaux ayant été réalisés avant l'invention du microprocesseur en 1969.
Un article2 du New York Times en 1970, et un autre3 du Scientific American en 2005, décrivent les travaux de Delgado et de certains autres chercheurs.
Les implants cérébraux permettent de contrôler, entre autres, les fonctions suivantes, d'après les travaux de José Delgado:
Delgado pouvait contrôler des animaux comme des « jouets électriques »2, en pressant différents boutons, il pouvait ainsi faire ouvrir et fermer les yeux à un singe, lui faire tourner la tête, bouger la langue et les lèvres, provoquer un grognement, le faire éternuer, bailler, augmenter ou diminuer fortement la quantité de nourriture consommée, faire tomber en