Un écrit social a un auteur, un destinataire et une fonction. La lecture est une prise d’indices : Indices culturels Indices pragmatiques (qui viennent de l’expérience sur le fonctionnement de l’écrit) Indices iconiques (illustrations) Indices sémantiques (du sens) Indices syntaxiques Indices typographiques (ponctuation, paragraphe) Indices orthographiques Déchiffrer : lire syllabe par syllabe. Test de closure : texte à trous pour faire des hypothèses. Une inférence est une déduction. Oralisation = subvocalisation. La méthode syllabique ou synthétique 1 lettre par semaine combinaison de syllabes fabrication de mots apprentissage de la lecture On trouve des syllabes artificielles et une liste de mots contenant le son du jour où chaque syllabe est détachée Y combinatoire qui n’attache pas d’importance au sens, on travaille sur le code. Daniel et Valérie : illustrations puis phrase prétexte, pas de majuscules, liste de mots. Il faut partir du vécu de l’enfant, aller du connu vers l’inconnu. Méthode mixte (1970) 10% de globale, 90% de syllabique point de départ global et très vite on revient à un apprentissage syllabique (_lecture__ en fête, Gafi le fantôme_). Méthode de Sablier (syllabique de 1975) On part de l’oral, des phonèmes Il y a 36 phonèmes en français Y 1 phonème par semaine La méthode Sablier est une méthode à départ phonétique Méthode globale Le point de départ est l’affectif On voit d’abord une globalité, puis les détails Méthode idéovisuelle (Charmeux, Foucambert) On part d’une image pour une prise d’indices. On part du sens puis on oblige les enfants à faire des hypothèses. On considère qu’un apprenti lecteur doit être placé dans les mêmes conditions que des lecteurs confirmés. (_Paginaire__, objectif lire_ Apprentissage de la lecture prise de conscience lexique (sur l’acte de lecture) prise de conscience phonémique