"J'ai le droit de m'affirmer" "Dire mon avis est bon pour moi" "Je suis chaque jour plus assuré(e)" "Plus je m'affirme et plus je suis heureux(se)" Il faut si possible avoir en tête ces pensées et les répéter en état de mi sommeil afin qu'elles s'imprègnent mieux dans nos mécanismes internes inconscients.

Partons du principe que la plupart des analyses et outils d'analyse et de décisions sont limités voire partiellement faux, et que la plupart des vérités en sortants ont aussi leur limite, leur marge de trust, leur marge d'erreur. Toutes ces pseudos vérités. Ainsi, il vaut mieux refaire chaque raisonnement pour essayer de comprendre où on va.

Analyse de valeurs biaisée. Jeter le bébé avec l'eau du bain, voilà le risque. Rester concentré sur l'objectif. La thune. La réussite. Le succès. Laisse les conneries d'eveil aux esprits perdus. Toi tu avances.

Outils d'analyuse limitée = vsion logique développée à partir de ces outils qui devient limitée. Regarder en soi = blocage car jugement de la préc avec la consc. Regarder les autres pré grisement

délire collectif : adoptions de valeurs

"la névrose" est-elle une envie à moitié "salie" par le jugement de quelqu'un d'autre, qui transforme un épanouissement en refoulement par effet d'adptation aux valeurs de groupe ?
La solution est-elle le pardon melée d'une ignorance volontaire de ces remises en questions perpetuelles ? c'est pour ça que j'ai toujours tout perçu comme un défi ?

Partir de ce qui est déjà présent pour construire et réparer dans le pardon plutot que dans la haine destructrice de soi et des relations avec les autres. J'ai l'esprit vacillant entre les humeurs. Pensée tantot colorée, tantot grise, tantot hors outil.

Pression de : depeche toi de faire un choix. Depeche toi tout doit bien se passer. Je ne sais pas si cette fonction ets nécéssaire, en trop, genante mais aussi stimulante. Je ne sais pas comment ça se passe.

Etat inexactement défini et instable. Voilà