dissertation finale philo 2
Premièrement, Stuart Mill est venu révolutionner l’utilitarisme en introduisant la notion qualitative des plaisirs. Il l’introduit alors comme une doctrine qui juge la bonté ou le mal d’une action par le barème du bonheur. Une action est bonne lorsqu’elle maximise le bien-être du plus grand nombre. Alors dans ce cas ci, pour juger la bonté de notre action qui est d’appliquer la loi sur toutes les entreprises, il faut lui faire passer le test du calcul du bien contre le mal. Personne ne peut nier qu’en appliquant cette loi, une partie des entreprises serait grandement endommagées, car cela nuira bien évidemment à leurs clientèles ce qui va faire en sorte qu’elles subiront des pertes majeurs. Cependant, en sachant que cette partie ne représentent qu’une