Pour commencer, l’homosexualité se traduit par une attirance physique ou non envers une personne du même sexe. Très critiquée et mal vue, l’homosexualité est, dans notre société, perçue comme une déviance. C’est-à-dire que l’homosexualité serait un comportement ne respectant pas les normes de la société. Autrefois caractérisés de maladie mentale, l’homosexualité est certes mieux acceptée aujourd’hui mais pas encore considérée comme normale. Cependant, depuis des dizaines d’années, le droit fait de nombreux efforts pour « faciliter la vie » des personnes homosexuelles.
Il s’agit de monter ici que l’homosexualité est toujours perçue comme une déviance dans la société. Cependant, nous montrerons que le droit contribue à sa normalisation.
Afin de répondre au sujet, nous verrons dans une première partie que l’homosexualité est encore perçue comme une déviance dans la société. Ensuite, nous verrons dans une deuxième et dernière partie que le droit procède à la « normalisation ».

Tout d’abord, dans notre société, l’homosexualité est très souvent perçue comme une déviance. En effet, les personnes homosexuelles sont considérées d’anormales, c’est pourquoi elles ne sont pas respectées par les autres individus. Durant les siècles derniers, les homosexuels étaient jugés de malades mentaux. On les internait alors dans des centres psychiatriques afin de « guérir leur maladie ». En vain.
Cependant, une attirance pour une personne du même sexe n’est pas une maladie mentale mais seulement un comportement différent des autres individus. De plus, les homosexuels sont souvent rejetés par leurs familles. En effet, d’après le document 2, on remarque à partir du tableau que 36 % des individus homosexuels sont mis à l’écart par leur famille. Ensuite, on apprend grâce au tableau que 14 % des individus homosexuels sont victimes de menaces de la part de leur famille. Le rejet des personnes homosexuelles, exprimé par n’importe quel individu, est appelé homophobie. Ensuite,