La dépression, moins tabou qu’auparavant est la majeure maladie mentale du XXIE siècle. Elle se caractérise par une tendance à voir tout en noir, une perte de plaisir et une humeur triste. La dépression peut être traitée par la consommation d’anti-dépresseurs maintenant démocratisés et facile d’accès au peuple. Plus que le temps avance, plus que la détresse sur la santé mentale des individus fait grande apparence en société. Cette épidémie cause à une prise d’anti-dépresseurs comme …afficher plus de contenu…

L’exigence de notre société provoque un poids drainant sur les épaules des individus déjà frustré par leur routine probablement pas aussi rose que l’on pense. Cette maladie toujours en pleine progression dans les pays industrialisés provoque une forte résignation maintenant normativement balisée et aussi socialisée. Autre que la tristesse donnée par cette maladie, elle est également profondément contemporaine et pour pouvoir enfin régler cette souffrance sociale contemporaine nous donnons à chacun le même traitement. La popularité de la dépression peut paraître surprenante sauf si nous réfléchissons bien à la friabilité des supports sociaux, la consécration au travail qui est présenté comme seule source d’existences sociales et d’autre aspects fort représentatifs de notre …afficher plus de contenu…

Les médias pousseront l’Homme à réussir sa vie indépendamment et devenir sa propre personne. Ensuite, la maladie est analysée, décortiqué et expliqué dans la presse puis devient accessible au sein des citoyens. Tous ces diverses informations réussissent à culpabiliser le lecteur par l’idée d’émancipation. Les anti-dépresseurs perdent toutes leurs buts initiaux et n’ont que vocation à se ressaisir pour bien parfaire en tant qu’individu et non pour guérir. La dépression s’accompagne également par l’utilisation de substances dures tel que la drogues et la consommation d’alcool, facile d’accès pour tous. Plus qu’il y a d’action négatif, plus qu’il y a d’individualisation et devient un noyau de la socialisation d’aujourd’hui. L’individualité alors dépend de l’automédication et les médias contrôlant tous