Disserte
Bibliographie
Rapport du jury du capes SVT 2005
‘La symbiose’ M.A. Selosse, Vuibert
‘Associations et interactions chez les plantes’ Duhoux, Nicole, Dunod
Remarque importante : la leghémoglobine est codée uniquement par des gènes végétaux (cellules du nodule) (et non pas par les deux génomes, bactérien et eucaryote) contrairement à ce que vous pourrez encore trouver dans certains ouvrages
Définition
Deux sens au terme ’symbiose’ :
- le sens large anglo-saxon : 2 organismes différents coexistent durablement au cours de leur vie. Sur le plan physiologique, leurs relations peuvent être variables. Exemples des parasites biotrophes (colonisant les tissus vivants de l’hôte) appelés ‘symbiontes parasitaires’.
- le sens strict français : 2 organismes différents coexistent durablement au cours de leur vie, à bénéfice réciproque. Le mutualisme est compris dans ce sens mais tout mutualisme n’est pas symbiose au sens strict : les insectes pollinisateurs ne vivent pas avec les fleurs bien qu’ils interagissent transitoirement avec elles, à bénéfice réciproque (mutualisme sans symbiose).
Certaines symbioses sont facultatives, d’autres obligatoires. [pic][pic]
Des contacts plus ou moins étroits
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Question 1
Réponse corrigé officiel capes
Les deux structures, réalisées par des champignons (hétérotrophes au C) interagissent avec des plantes(autotrophes au C).Elles sont formées de ramifications très fines (de l’ordre du micromètre) et donc réalisent une grande surface entre les deux organismes. - elles sont très proches du partenaire (cellule de la plante) puisqu’elles sont situées en dedans de la paroi pectocellulosique (structure intracellulaire). Difficile de comparer la distance entre la paroi du champignon et la membrane plasmique de la cellule-hôte (environ 1 à 2µm dans le cas du suçoir, mais membranes disparues à la fixation sur l’arbuscule) mais minces dans les deux cas. - Grande