Distribution de la presse
La vente au numéro
Les invendus
Les invendus de presse empruntent le même circuit en sens inverse. Ils sont ensuite restitués aux éditeurs ou vendus à des récupérateurs de vieux papiers.
Les invendus récupérés par les éditeurs sont commercialisés sous forme de pochettes de périmés ou bien réutilisés à l'occasion de promotions commerciales….
III. Diffusion
Les éditeurs de presse sont libres de choisir leur mode de diffusion. Ils sont au nombre de trois.
1) La distribution en direct
L’éditeur de presse qui choisi la distribution en directe ne passe pas par une société coopérative
2) Les sociétés de messagerie
Les éditeurs optent le plus souvent pour ce mode de distribution qui consiste à passer par l’intermédiaire des sociétés de messageries spécialisées. Ces sociétés de messagerie prennent alors en charge le groupage et l'acheminement de la presse jusqu’aux grossistes, ce qui permet de baisser les coûts de distribution et procéder aux économies d’échelle.
Les conditions de groupage sont définies par la loi Bichet du 2 avril 1947, relative au statut des entreprises de groupage et de distribution des journaux et publications périodiques.
Les grands principes de cette loi sont : la liberté de choix de l'éditeur, l'égalité des éditeurs face à la distribution et la solidarité entre éditeurs et coopérateurs.
Aujourd’hui en France, deux sociétés de messagerie assure cette distribution : Presstalis (anciennement NMPP Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne), dont le siège est à Paris et MLP dont le siège est à Lyon.
Ces deux société acheminent chaque jour la presse quotidienne et périodique sur des grossistes répartiteurs régionaux qui à leur tour alimentent les points de vente (marchands de journaux ou plus précisément, diffuseurs de presse).
2.1) Presstalis (Paris) 2.2) MLP (Lyon)
Le circuit de distribution
Les éditeurs de presse sont libres de leur diffusion :
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