Dm d'histoire les trafics illicites
• l'Amérique latine et les Caraïbes pour le narcotrafic (à noter, aussi, d'autres origines comme le Maroc pour le cannabis, l'Afghanistan pour l'opium, la Russie pour l'héroïne...) ;
• les pays de l'ex-bloc soviétique pour le trafic d'armes et de technologies militaires ;
• la Chine, championne de la copie et de la contrefaçon ;
• les routes et les points de passage des migrations clandestines du Sud vers le Nord (détroit de Gibraltar, frontière américano-mexicaine...). II)Dans le contexte de la guerre froide, le Royaume-Uni (1952), puis la France (1960) et enfin la Chine (1964) sont venus rejoindre le club des Etats dotés d’un arme- ment nucléaire. La perspective d’une prolifération très rapide semblait alors inéluctableTout d'abord, la politique américaine est perçue comme un danger contre lequel il faut se protéger. C'est un constat d'analyste. Qu'on l'approuve ou qu'on la rejette, l'intervention en Irak est de nature à renforcer les craintes des pays qui estiment qu'ils pourraient être la prochaine cible.Un risque subjectif lié à l’irresponsabilité, l’imprévisibilité au caractère dictatorial de certains régimes dotés ou en passe de l’être.
Un risque technologique lié au développement des armes, spécialement à leur miniaturisation qui permet de les utiliser sur un champ de bataille avec des dommages relativement circonscrits et qui donc élève la tentation d’y recourir.
Un risque aléatoire enfin, du fait de la perspective de l’acquisition de matériaux fissiles par des acteurs non étatiques, réseaux terroristes ou criminels, faisant de ces matériaux des instruments de terreur. Tous ces risques concourent au fait que l’idée classique de l’arme nucléaire comme arme de dissuasion, arme stabilisante est profondément remise en cause. III)Arrivées à destination, dans des pays, au Sahel, en Afrique centrale, de l'Est et de l'Ouest, les armes sont échangées contre de la drogue