Dm n°1 français (commentaire)
Premièrement, parce qu’il commence par une formule d’ouverture « Il y avait un roi… » (ligne 5). Cette ouverture nous permet de rentre directement dans l’histoire, on peut même aller jusqu’à imaginer le roi dans notre tête.
Le formule d’ouverture est une caractéristique typique du conte.
Mais aussi parce que le texte est au passé indéfini, il n’y a aucune marque de temps, on ne connait pas l’époque exacte du conte, on sait juste qu’il a lieu dans le passé « Il y avait un roi qui possédait un gros éléphant… » (ligne 5).
Le cadre est imprécis, le lecteur doit donc deviner l’époque, le lieu…
Dans ce texte, grâce au titre « Conte arabe », on peut déduire que l’histoire se déroule dans un pays oriental, et aussi avec le fait qu’il y ai un éléphant, puis le prénom d’un personnage de l’histoire, « Jeha ».
Il montre une opposition entre le roi, qui est considéré ici comme le plus fort, et le peuple, considéré lui, comme le plus faible.
Le peuple a peur de son Roi, on peut étudier le champ lexical de la peur, exemple ligne 12 « lequel de nous sera assez fou pour s’adresser au roi ? ».
Ce texte à la même construction qu’un conte.
Il y a une situation initiale « Il y avait un roi… », suivi d’un élément perturbateur « l’éléphant allait partout … causant sur son passage des dégâts considérables » et le fait aussi que le peuple n’ose pas le dire au Roi.
Il y ensuite un élément de résolution
On peut aussi remarqué une répétition d’actions, d’évènements, de phrases (« Sire, sauf ton respect, ton éléphant… ») et il y a un dialogue.
Le Roi est conscient de son pouvoir, il en abuse et fais donc peur à la