document sur la formule 1
Les courses automobiles des années 1920-30 sont à l’origine de L'histoire de la Formule 1 organisées en Europe. Tout commence en 1946 avec l'uniformisation des règles voulue par la Commission sportive internationale de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) et la création de la « Formule de Course Internationale n°1 » pour indiquer la qualité optimale avec le terme de Formule 1[]. Ainsi né le championnat du monde de Formule 1 en 1950, à Silverstone à l'occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne. Puis une coupe des constructeurs s’ajoute en 1958 qui deviendra par la suite le Championnat du monde des constructeurs en 1982.
L'évolution de la discipline est liée à celle des performances des voitures et de la réglementation technique des compétitions. Bien que le gain du Championnat du monde reste le principal objectif, de nombreuses courses de Formule 1 ont eu lieu sans être incluses au Championnat du monde. La dernière en date, disputée à Brands Hatch, s'est déroulée en 1983. Des championnats nationaux ont également été organisés en Afrique du Sud et au Royaume-Uni dans les années 1960 et 1970.
Au départ six grands prix
Le championnat se déroule en six Grands Prix en Europe de l'Ouest, plus la course de l'Indianapolis 500. Il ne s'agit en fait que d'institutionnaliser et regrouper les épreuves les plus prestigieuses sous une bannière commune. Seuls les quatre meilleurs résultats de chaque pilote sont retenus, les points étant distribués ainsi : 8, 6, 4, 3, 2 du premier au cinquième[2]. L'auteur du meilleur tour en course est gratifié d'un point supplémentaire et les points sont partagés si plusieurs pilotes se relaient sur une même monoplace. Les monoplaces arborent leur couleur nationale (bleu de France, vert britannique, jaune pour la Belgique, blanc pour l'Allemagne, rouge pour l'Italie...). Les écuries italiennes Alfa Romeo[3][4], Ferrari[5][6] et Maserati[][ ]sont les plus aguerries et dominent les premières années. La