droit pénal
Phénomène criminel = infraction. Réaction social = sanction.
L’infraction fait peur, sentiment d’horreur (meurtrier en série), d’angoisse (terrorisme), de mépris (homme de pouvoir qui en abuse : DSK) et parfois dérision (clochard qui commet une infraction).
On ne reste pas indifférent, elle inspire la crainte, ordre public troublé, insécurité.
Comment l’individu réagit il face à l’infraction ?
Sentiment de vengeance, on peut difficilement l’effacer. Il peut perdurer, surtout quand sentiment que le crime est resté impuni. Elle peut conduire l’individu à faire n’importe quoi (tuer le responsable).
Sentiment de justice.
Sentiment de pitié, de sympathie, de la compassion. Infraction peut être involontaire (ex : incident de la route). Infraction qui touche tous le monde. Dans ce cas là, on songe plutôt à une politique routière au lieu de réprimer. SI répression, elle doit être modèle.
La politique pénal peut être bâtit sur la vengeance, la pitié, sur la prévention, la répression. Selon les périodes historiques, elle varie.
Le phénomène criminel qui trouble l’ordre social, nous inspire aussi un sentiment d’espérance. A travers le procès = rétablissement de la paix sociale.
On attend le procès, pour enfin faire la paix.
Mais on en attend un bon, avec juge attentif, car son rôle est beaucoup plus important que le juge civil. La vérité doit être vrai, objective, il faut la vérité vraie.
Si une personne avoue un meurtre, mais que cela ne coïncide pas, le juge ne peut pas en tenir compte. L’enjeu est la liberté de l’individu, pas seulement un enjeu pécuniaire.
Le juge doit avoir de grandes qualités humaines.
CHAPITRE 1 : LA PEUR INSPIRE PAR L’INFRACTION, TROUBLE A L’ORDRE PUBLIC.
S1. Période Classique
La répression a été synonyme de vengeance, mais avec le temps, il a évolué vers celui de justice.
P1. La répression vengeresse.
a. la vengeance
La peine