On observe deux cercles entrelacés. Celui de gauche représente la morale et celui de droite le droit. On note que le cercle de la morale est plus grand que celui du droit. La morale est un ensemble de règle de conduite et de valeurs au sein d’une société ou un groupe (exemple : la morale chrétienne). Alors que le droit est né de la nécessité de régler, voir de rectifier les relations entre les hommes. Le droit ne s’occupe que des rapports les plus essentiels par rapport à la morale, d’où la supériorité du rond de la morale.
Ces deux cercles font apparaitre trois parties distinctes. La première à droite correspond aux règles de droit sans la dimension morale. La partie tout à gauche représente uniquement la morale. La partie où les deux cercles se chevauchent correspond aux règles morales ayant une dimension juridique.
On remarque que les contours de la morales sont mal dessinés, imprécis. Cela nous montre que la morale n’est pas précise. Elle est très souvent variable dans le temps, elle évolue. Elle peut être très différente d’un leu à un autre. A l’inverse, les contours du rond du droit sont très précis et net. Car les règles de droit sont strictes, stables, elles sont les même pour tous. Elles ne varient pas comme la morale.
La superposition de ces cercles n’est pas fixe ni stable, elle est mobile. En effet, il n’existe pas de limite qui fixe leurs positions. Comme dit précédemment la morale évolue, bouge dans le temps, ce qui fait qu’elle peut très bien chevaucher encore plus le cercle correspondant au droit ou bien à l’inverse : reculer.